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Mes Poèmes

Ce fut un matin, pas plus loin que l'espoir,

Au moment où le mien cherchait sa main.
Je réfléchissais sur le monde, pour savoir.
Le mot Dieu m'apparut, là j'en fus certain.

 

C'était un printemps, un oiseau, un chant,
Celui d'un coeur qui croit au juste bonheur.
Dieu est une femme. C'est le chant du vent,
La folie du temps qui s'échappe du coeur.

 

Ce fut un jour lointain, peut-être un matin,
Des la première aube, une histoire bizarre.
Cette lumière bleue, un bien grand destin,
Qui tient le temps en la main du hasard.

 

C'était un jour comme un autre, pas moins,
Un homme qui rêve au chemin, cet amour
Qui court toujours pour attendre demain.
Dieu pourrait être une femme, le parcours.

 

 

 

 

 

Elle aurait pu être une poétesse, cette prêtresse de mes mots.
Mais elle est princesse de mes caresses, ivresse et non fardeau.
Elle pourrait-être tout un quatrain poétisé sur son sein si beau.
Mais elle est ma divinité, cet amour, ma déesse, un jour nouveau.
 
Son corps repose sur le mien, noble destin. Ma muse est parfum.
Ses mains caressent ma peau qui frissonne. Ma muse est un câlin.
Sa bouche effleure la mienne, tremblante. Ma muse est un festin.
Ses yeux se posent sur mon sein. Ma muse est un si doux refrain. 
 
Au petit matin elle se repose de cette prose, notre amour désiré.
Sa poitrine m'attire avec délicatesse sans que je n'ose la réveiller.
Son corps est à nu sur ce drap encore humide par tant de vérités.
Au petit matin je la regarde, presque rassuré, toujours émerveillé.
 
Son beau sourire est toujours présent, à chacun de mes instants.
Son coeur qui bat me rappelle mon rêve d'antan. Moi je l'entends.
Ses cheveux glissent entre mes doigts, filaments d'or et d'argent.
Sa peau glisse sous ma main comme le satin. J'en demeure friand.
 
Elle est toutes mes promesses, mes désirs, mes douces paresses.
Mes yeux sont orgueilleux, mon coeur est si amoureux. Faiblesse.
Elle pourrait n'être que passade, coup de vent, si folle tendresse.
Mes mains s'ouvrent aux siennes pour une merveilleuse promesse.

 

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Etre Libre …

 

De penser à toi …
De t'aimer …
De ne jamais t'oublier …
D'être à toi …

 

 

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Ma Muse

Dieu pourrait-être une femme

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Ta tête posée sur mon sein, je crois encore au destin.
Mes lèvres sur ton front embrassent la vie.
Ton corps repose dans tes rêves, aussi dans les miens.
Ma main caresse ton sein ignorant l'ennui.
 
Ton souffle léger léchant ma peau humide me rassure.
Ta bouche entrouverte m'offre tes baisers.
Ta cuisse glissant sur la mienne invite le soupir qui dure.
Tes doigts sur mes reins me donnent à rêver.

 

Comme deux moineaux au fond de leur nid si douillet
Nous reposons nos ardeurs du printemps,
Ecoutant nos coeurs murmurer en silence ce bel été
La nuit à peine éloignée glisse sur le vent.

 

Comme deux tourtereaux en quête de l'absolu bonheur
Nous rêvons notre bel amour en silence
Cherchant dans nos yeux la folie de nos deux coeurs
Ecoutant l'espoir de croire en la chance

 

 

 

Comme deux moineaux

Voici un recueil de Poèmes en vente

sur LULU et vers moi-meme.

Un Jour La Folie Décida d’Inviter Ses Amis… 
 
 
La Folie décida d’inviter ses amis pour prendre un café chez elle.
Tous les invités y allèrent. Après le café la Folie proposa..
 On joue à cache–cache
  Cache-cache ? C’est quoi, ça ? – demanda la Curiosité
  Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu’à cent et vous vous cachez.

Quand j’ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve
    sera le prochain à compter.
    Tous acceptèrent, sauf la Paresse. 1, 2, 3,… –
    La Folie commença à compter.
  L’Empressement se cacha le premier, n’importe où.
    La Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe d’arbre.
La Joie courut au milieu du jardin.
    La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d’endroit approprié pour se cacher.
L’Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher.
    La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient.
    Le Désespoir étaient désespéré en voyant que la Folie était déjà à nonante-neuf.
Cent ! cria la Folie. Je vais commencer à chercher…
    La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n’avait pu s’empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert.
    En regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d’une clôture ne sachant pas de quel côté il serait mieux caché.
    Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité…
    Quand ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda…
    *Où est l’Amour ?
    Personne ne l’avait vu. La Folie commença à le chercher.
    Elle chercha au-dessus d’une montagne, dans les rivières au pied des rochers.
Mais elle ne trouvait pas l’Amour.
    Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier, pris un bout de bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri.
C’était l’Amour, qui criait parce qu’une épine lui avait crevé un oeil.
La Folie ne savait pas quoi faire.
Elle s’excusa, implora l’Amour pour avoir son pardon et alla
jusqu’à lui promettre de le suivre pour toujours.
L’Amour accepta les excuses.
Aujourd’hui, l’Amour est aveugle et la Folie l’accompagne toujours.
 
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Comme c’est bien dit... et tellement vrai !
 
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Poème © De Jean De Lafontaine
 

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